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macérations X
15/10/2006 23:05
j'ai un truc dans l'oeil qui me flingue ma vue pourriture attrophiée adorée des nulles.J'ai la merde au cul et la vengeance assassine toi qui rampe lèche l'abyme j'ai peur de la suite les armes déclinent au fond de mes pensées mortuaires belle vague morte affine ta course tranchante et lapidaire pisse sur ces faibles qui de toute façon te gènent et te harcèlent jamais trouveront-ils la paix reposent -ils dans les tentacules de la guerre fuck et merde.J'ai soif de cette merde écarlate et bien trop amère qui ammène à la senteur des arnaqueurs sent bon comme l'odeur de la viande froide et macérée des années dans les mains du boucher qui délicatement te découpe des filets comme il souhaite te baiser j'ai la gerbe les tripes remontent avec toute la bile et les macérations x diversses et nécessaires.Copuline gentille fille libido déréglée gèle hyène de verre sorte d'armée au seuil d'une falaise pointe la mort et regarde en l'air encore une fois on t'aura craché au visage pourquoi respecter celle qui jamais ne défaille laisse la crever sur un canap éventré et peu à peu laisse couler la vie de ses narines son visage et sa vessie perce la comme ses entrailles en pature aux hommes qui rient et ne se soucient que bien peu d'elle paix à nos âmes car aujourd'hui elles sont mortes et damnées à jamais j'ai capté le doux pouvoir de la beauté mourrir ou faire crever ça semble le seul but que l'on nous ai attribué ma vision est éternellement modifiée c'est à quatres mains que je vais maintenant composer à sa mémoire à nos histoires bidons et fanées.
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filleblanchepauvreconne
08/11/2006 21:07
une chair juste seule et flétrie , les zombies errent et se capturant dans les ombres qu'elle emet à la lumière acide du matin juste la même putain de différance évidente d'inssousciance malsaine la même jusqu'à ce qu'elle ne puisse même plus dire merde ce mot qui de toutes les façons la sauve du dernier piège qui te lascère la tête celui de te détester de te sentir rien une merde ambulante et bien trop précieuse pour la sous-estimer .Toujours être tirée des 2 côtés pourris de ton système de vie.Abuser pour ne pas devenir le voisin sans aucun intéret ignorer ceux qui ne nous choquent pas .Ingérer la bile amère et sanguinaire se sentir vierge à nouveau de toute crise existentielle.Pourquoi subir ce que l'on déteste au plus profond de notre chair comment se venger de sa propre misère comment chier et banlancer sa colère amère et monstrueuse de fiel purulent d'humanitée refoulée.Ne pas se plaindre être sage être belle compréhensive et pensive mais pas trop parce que trop c'est génant vaut mieux être conne et bandente mais trop c'est toujours pas assez pour moi et j'veux tout quand je l'ai je veux rien quand j'ai plus je vaux rien mettre un prix sur tout ce qui bouge capitalisme avancé même de mes pensées stupide de filleblanchepauvreconne.
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de l'autre côté du mur
11/11/2006 21:29
Elle s'est retrouvée de l'autre côté du mur, ce matin elle est sortie de ses semaines de délire sa luciditée toute nouvelle lui fait bien peur à présent son univers s'est mélangé à ses pires cauchemards le fête foraine n'est plus, la mécanique décandante du jardin d'enfant est enfermée dans son crâne, mobile permanant la poursuivant, l'épiant du haut de ses nouvelles tours mirador suffoquant alliénéé échappéé de ton asile collier de perles rosée autour de ton coup le dernier cadeau du monde déchu que tu as arpenté espérant trouver ce que tu n'as toujours pas trouvé ton échapatoire est sans fin as-tu passé une porte inconnue pendant ta dérive de semaines en semaines as-tu trouvé le passage secret celui où la mémoire qui faillit et se crispe s'éteint et se rallume dans un dernier râle atomique pulvérise tout ce que tu as gentillement appris et répété comme une gentille fille pas douée.Tu écarquille tes yeux qu'est ce qui a bien pu t'arriver?A ce moment là un iguane passe sort ses yeux globuleux vers ta face affamée de myquose et cicatrices teenage et te lèche la tronche laissant la coulée de bave noyer tes pieds ancrés au sol marre boueuse de conte de fée.
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